L’ascension.

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L’ascension nous appelle, ce soir à la chapelle,

Rendez-vous vers minuit pour enterrer l’ennui

Sous le désir… charnel.

 

Dans le plus grand secret, j’aurais ta peau nacrée

Et tes pommettes en feu ; je boirais dans tes yeux,

A tes lèvres…  sucrées.

 

Cette voûte étoilée où nous allons brûler

A défaut de deux ailes, je prendrais mon échelle

Pour t’en faire un… collier… et…

 

Nous serons seuls… mon amour… seuls… attendant le jour…

Seuls… dans ces faux silences… seuls… mon amour… de vacances.

 

Balayant sur les dunes, l’or des rayons de lune…

Il n’est douce lumière, plus douce sur ta chair

Au creux de ces… lagunes.

 

Chevelures en bataille sur les filets à maille

Mêlant larmes et rires jusqu’au bout du plaisir

Comme un train qui… déraille… oui…

 

Nous serons seuls… mon amour… seuls… attendant le jour…

Seuls… dans ces faux silences… seuls… mon amour… de vacances.

 

Le matin de papier viendra nous éveiller

Tout enivrés encore des fabuleux trésors

Que nous aurons… pillés.

 

Sur la plage on verra se séparer nos pas

La vent auras tôt fait de sable les combler

Ou la marrée… viendra… humm…

 

Nous serons seuls… mon amour… seuls… c’est ainsi toujours…

Seuls… avec nos silences… seuls… mon amour… en partance.

 

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