De l’usine aux combines
De la peine à la haine
De l’adieu à l’oubli
Tu rêve à perdre haleine
Sur un bout de trottoir
Où les oiseaux vont boire.
De la flamme à la canne
De la flemme à la peine
De la came à Paname
Tous à la même enseigne
Même les plus inventifs
Coincés près du périf
De l’argent aux agents,
De la scène aux mécènes
Indigents, indulgents
Ces gens là qui larsènent
Le destin qui se marre
Et l’œil noir qui s’égare.
Léon, Léon, bercé par les néons
Le jour caméléon, Léon, Léon,
Léon, Léon, son vieil accordéon
Charmant petit bonhomme
Pas fiché télécom !
Pas fiché télécom …
De l’asile à l’exil
A l’enfant de la balle,
Ca deale, te fait pas d’bile
Tu cales et c’est normal
Dans ton carton/palace
Paradis monospace
De la lutte à la chute,
Du bercail à la paille
D’la pute à l’occiput
Du sérail au portail
Y a d’la faute à pas d’chance,
Un peu des circonstances
Léon, Léon, bercé par les néons
Le jour caméléon, Léon, Léon,
Léon, Léon, son vieil accordéon
Charmant petit bonhomme
Pas fiché télécom !
Pas fiché télécom…
Pas fiché télécom…
De l’appart à l’asphalte,
Du règne à « quand ma peine ? »
De la boite au picrate…
A la mienne, à la tienne !
A nos raisons d’y croire,
A l’invincible espoir !
Léon, Léon, bercé par les néons
Le jour caméléon, Léon, Léon,
Léon, Léon, son vieil accordéon
Charmant petit bonhomme
Pas fiché télécom !
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