
Tu m’as tout dit et tu t’es tue, le doute hésite et la vertu
Murmure à l’oreille des chameaux : « Pâques aura sa ration d’rameaux ! »
Un fossoyeur sans jerricane, son corbillard à mis en panne…
La clientèle du jour patiente… la course n’était pas très urgente !
La clientèle… du jour patiente… La clientèle… C’est trop !!!
Ma vie t’était dédicacée, n’en parlons plus, c’est au passé ;
Tout effacer n’est pas facile, l’oubli ets un être indocile.
Le fossoyeur lisse son nœud pap’, son corbillard bat des soupapes…
Quand l’train-train percute la routine les nuits de Chine sont moins câlines !
Les nuits de Chine… sont moins câlines… les nuits de Chine… C’est trop !!!
C’est trop tard pour les prières,
Pour passer sur le billard ;
Mais… soignons la mise en bière,
Fleurissons le… corbillard !
Mon soleil décline et ta lune décroît dans mes pensées nocturnes,
L’hiver prend l’été à revers sournois’ment dans la stratosphère.
Le fossoyeur attendait l’heure sur son corbillard de malheur
‘L’était patient comme un dolmen… son tour viens toujours et… amen !
‘L’était patient… comme un dolmen… l’était patient… C’est trop !!!
C’est trop tard pour le meilleur,
Le pire… c’est une autre histoire ;
Les conseillers, les payeurs
Dans la roue du… corbillard.
C’est trop tard pour rire en cœur,
Ralliez mon panache… blafard ;
Réjouissez vous car votre heure
Sera celle du corbillard !
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